Projets de recherche

Au sein des axes de recherche, les membres de l'équipe mènent les projets de recherche suivant :

____________________________________________________________

  • FUTURE-ART, Sentinels of the Future, Together to Eradicate Human Trafficking

Le projet FUTURE-ART s’adresse aux jeunes individus susceptibles d’être enrôlés dans les réseaux de traite des êtres humains. Grâce à un important travail de sensibilisation, ce projet entend outiller et former les acteurs de la société civile, interlocuteurs privilégiés des victimes de la traite.

FUTURE-ART aspire à renforcer la sécurité et le bien être des jeunes au travers de mesures préventives - telles que la formation des acteurs associatifs et la sensibilisation d’un large public aux enjeux et dangers de la traite des êtres humains - mais également par la formulation de recommandations à l’intention des décideurs politiques européens.

En mobilisant l’art comme une approche innovante, ce projet entend offrir aux jeunes un moyen d’expression universel pour s’affranchir des barrières linguistiques et culturelles.

En tant que coordinateur, l’Équipe Sécurité & Défense - Renseignement, Criminologie, Crises, Cybermenaces (ESDR3C) du Cnam a accueilli à Paris l’ensemble de ses partenaires les 28 et 29 octobre 2025 pour le lancement officiel des activités. Chaque partenaire enrichit les discussions d’une expertise singulière et de multiples expériences :

  • Les Militants des savoirs (France)
  • Innopolis Center for Innovation and Culture (Grèce)
  • Innovative Prison Systems - IPS (Portugal)
  • Univerta della Calabria (Italie)
  • Sürdürülebilir egitim ve saglik akademisi dernegi - SEHA (Turquie)
  • Spin System asbl (Belgique)

FUTURE-ART

Ce projet est porté par Clotilde Champeyrache

 ____________________________________________________________

  • UNIVOLS, University Studies on Violence for Prevention and Resilience 

Coordonné par les Militants des savoirs, le projet UNIVOLS vise à structurer une filière académique de « Violence Studies ». Il vise à doter les chercheurs, praticiens et décideurs politiques, d’outils pour prévenir, identifier et répondre aux différents phénomènes de violences (familiales, radicales, sociales, politiques, urbaines, numériques ou encore de genre).

Ce projet réunit des partenaires d’horizons différents - universités et acteurs de la société civile - pour façonner un nouveau domaine académique qui répond au besoin de formation sur les violences en Europe.

  • Les Militants des savoirs (France)
  • Université Rey Juan Carlos (Espagne)
  • Université de Malte (Malte)
  • Conservatoire National des Arts et Métiers - Cnam (France)
  • Université des sciences appliquées de Salzbourg (Autriche)
  • Istituto Universitario di Studi Europei - IUSE (Italie)
  • Sürdürülebilir Eğitim ve Sağlık Akademisi Derneği - SEHA (Turquie)
  • Tualia s.r.o. (République tchèque)

Les 20 et 21 octobre 2025, l’Équipe Sécurité & Défense - Renseignement, Criminologie, Crises, Cybermenaces (ESDR3C) du Cnam s’est rendue à Toulouse pour participer au lancement des activités du projet UNIVOLS : ces deux journées ont permis de poser les bases scientifiques, pédagogiques et opérationnelles d’une approche préventive et interdisciplinaire de la violence. 

UNIVOLS

Ce projet est co-porté par Philippe Baumard et Olivier Entraygues

____________________________________________________________

  • CEDAR (Continuing Education Against Radicalisation)

CEDAR est financé par le programme Erasmus et vise à mettre en œuvre un cours complet pour accompagner les formateurs et les enseignants européens sur les questions de radicalisation et d’extrémisme violent. Fondé sur l’expertise du CNAM en matière de prévention de la radicalisation, il a pour objectif de développer une plate-forme pédagogique de formation en plusieurs langues afin d’outiller les professionnels du secteur éducatif (enseignants, éducateurs etc..) à sensibiliser leurs publics jeunes. Il agrège 7 partenaires européens issus de 6 pays : Université Del Rey (Espagne), l’Innovative Prison System (Portugal), la Fachhochschule de l’Université de Salzburg (Autriche), l’Université de Toulouse II (France) et la Fondation Szkola Z Klasa (Pologne). Ce projet est porté par Elyamine Settoul.

____________________________________________________________

  • MIRAD (Multi-Ideological Radicalisation Assessment towards Disengagement)

MIRAD est un projet européen financé par l’Internal Security Fund Police (750 000 eur). Il vise à développer la connaissance et des outils sur l’évaluation de la radicalisation en milieu pénitentiaire. Le travail est axé autour des acteurs issus des mouvances jihadistes et d’ultra droite. D’une durée de 18 mois il agrège 7 partenaires européens sous la direction de l’équipe PSD R3C du CNAM  (axe radicalisation). Les partenaires européens sont l’IPS_Innovative Prison Systems (Portugal) le Polish Platform for Homeland Security (Pologne), l’Euro-Arab Foundation for Higher Studies (Espagne), le Center for the Study of Democracy (Bulgarie), le KMOP Social Action and Innovation Centre (Grèce) et l’association Les Militants des Savoirs (France). Ce projet est porté par Elyamine Settoul.

____________________________________________________________

  • ECTEG (European Cybercrime Training and Education Group)

ECTEG est un projet en collaboration avec Europol et Interpol, financé par la Commission Européenne. L'ensemble des parties prenantes travaille à délivrer des cours et des conseils à l'attention des appareils législatifs européens. La lutte contre la cyber-criminalité et la cyber-résilience des infrastructures critiques en sont les principaux thèmes. En particulier, l'apport de l'ESDR3C prend forme dans l'axe "Decrypt", un groupe de travail pour le développement de modules d’enseignement en cryptologie. Ce projet est porté par Julia Pieltant.

____________________________________________________________

  • IPEV (International Panel on Exiting Violence)

IPEV est un projet international et pluridisciplinaire sur la sortie de la violence. Alors que la majeure partie de la production scientifique se focalise sur les modalités de la fin du phénomène violent. Plus précisément, il s'agit de conceptualiser l'économie des phénomènes violents (Economies of violence). Depuis 2017, près de 200 chercheurs du monde entier ont analysé les processus de sortie de la violence en dialogue avec les décideurs et praticiens. IPEV est coordonné par la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH) et bénéficie du soutien de la Carnegie Corporation of New York. L'apport de l'équipe à ce projet a été porté par Clotilde Champeyrache.

____________________________________________________________